Press & Media Review for « Vouerca/Fahy »

« Entre Auvergne et Haute-Ajoie, Vouerca/Fahy entraîne l’auditeur dans une pérégrination entre archaïsme folk et minimalisme à la manière des maîtres étasuniens La Monte Young et Tony Conrad. Deux étapes de vingt minutes chacune,répétitives mais semées de micro-variations, brouillant les repères traditionnels et ouvrant grandes les portes de la perception. »

 Roderic Mounir / Le Courrier
« They bolster their acoustic drones with subliminal, pulsing electronics and elon gate their appropriated rhythms with implacable repetitions inspired by minimalists and eccentrics. Each of the album’s two pieces spans an album side but feels like it could go on all night. La Tène’s music sounds medieval and European, but it’s as trance inducing as something you’d hear at a powwow. »
Chicago Reader, Bill Meyer
   « Vourca/Fahy gives the impression of being both self-indulgent and almost fanatically ascetic »
Will Pinfold / Echoes and dust
« ..transforming sounds associated with particular regions and cultures into a pop cornucopia that caters to an emerging interest in experimental sounds all over the world without abandoning the rhythms and sounds that speak to generations lost. »
JSpicer, Tinymixtapes
   « Le trio bourdonnant vernit son album «Vouerca/Fahy» à la Cave 12 de Genève
La Tène réunit Alexis Degrenier à la vielle à roue amplifiée, et deux figures solides de la scène romande d’improvisation: Cyril Bondi à la percussion, et D’incise (alias Laurent Peter) à l’harmonium indien et à l’électronique.A la Cave 12 de Genève le 27 avril, le trio vernira son premier et très récent album, «Vouerca/Fahy»: on a géolocalisé les deux toponymes mentionnés dans le titre, ils nous font faire un saut du Chablais français (le Pas de Vouerca)à la pointe de l’Ajoie.
Y a-t-il là forme d’énigme en prophétie?On ne sait,mais ce qui est certain,c’est que ce disque(publié par l’aventureux label lausannois Three:Four Records) est un réel enchantement, comme nourri de siècles de tradition du drone réécrits dans une approche contemporaine – imaginez (on ne peut malheureusement guère faire autre chose) Tony Conrad mesmérisant le copiste Turoldus pour mettre la «Chanson de Roland» en boucles: c’est un tournoiement de fête syncrétique une célébration à tourbillons et bourdons, Dionysos tiré de son sommeil peu avant l’aube pour gravir le Golgotha. Une parfaite musique de terre sèche et de vent.

Philippe Simon / Le Temps / 23 avril 2016
« ..quite intense music, of an excellent haunting, minimalist quality.. »
Vital weekly

 

 

 

 

 

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